L’ouvrage contribue à repenser du point de vue des sciences humaines et sociales certaines transformations urbaines et/ou rurales contemporaines. Pareilles transformations contraignent, entre autres, à les (re)-qualifier avec des adjectifs multiples formant autant de promesses que d’actes.
Aimables, apprenants, inclusifs, intelligents, protégés… Ces adjectifs (re)- qualifient-ils ‒ en promesses ou en actes – ce que sont ou seront les territoires de demain dans nos parcours de vie et nos interactions quotidiennes, mais également face à des transformations majeures de nos habitats, aux événements climatiques ou aux urgences écologiques…?
Ainsi de quoi ces (re)qualifications sont-elles vraiment le nom ? Ne sont-elles que des « fourre-tout » notionnels au service du marketing territorial ? Ou s’agit-il de dénominations durables reflétant bien les transformations profondes de nos espaces privés/publics notamment via les technologies numériques ? Quels devenirs nous promettent ces nouveaux mondes et comment les rendre encore habitables ?
Ce livre, résolument pluridisciplinaire, interroge à nouveaux frais une conception des territoires tiraillée entre la réalité de l’étalement urbain et de la rurbanisation, le geste algorithmique présent dès la conception des espaces et la nécessité d’une ville dense sous contrainte écologique à l’heure où les catastrophes climatiques redessinent les solidarités.
Publié avec le soutien de l‘Université Côte d’Azur – Institut innovation et de partenariats IMREDD, et Transitions savoirs – médias – territoires
Avec la participation de Pierre-Jean BARRE, Olivier BAILLOT, Philippe BOHELAY, Hafida BOULEKBACHE-MAZOUZ Voir plus [+]
Préface de Pierre-Jean BARRE
Postface de Jean-Christophe GAY
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